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Je suis Asherah Dominique Boyer

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  • Master en psychologie clinique et pathologique

  • Kinésiologue 

  • Praticienne en élixirs floraux 

  • Praticienne Reiki 

  • Guide dans la lignée du soufisme universel d'Hazrat Inayat Khan - Sufi Ruhaniat International

  • Mentor et guide des Danses de la Paix universelle

  • Percussionniste dans la lignée de Layne Redmond

 

Et plus de 10 ans passés à accompagner les femmes individuellement et lors de mes retraites !

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De la Survie à la Vie

Je vis au cœur d’une forêt de châtaigniers et de chênes centenaires, dans le sud de la France. Un lieu vibrant, où la nature murmure des histoires de résilience et de renaissance.

Je suis une femme profondément curieuse, passionnée par l'exploration des chemins intérieurs et heureuse de guider d’autres femmes vers leur souveraineté. Mais avant d'en arriver là, mon parcours a été un long voyage, parfois semé d’obscurité, mais toujours éclairé par une quête inébranlable de vérité et de liberté.

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Aujourd'hui je peux dire que je suis en paix avec moi-même et avec mon histoire.

Mais cela n'a pas toujours été le cas ...

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Jeune, j'ai été victime d'inceste pendant plusieurs années. Jusqu'à m'enfuir à l'étranger à 20 ans, pensant que mon départ allait effacer tous mes problèmes comme par magie.

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Mais lorsque j'ai découvert que mes collègues de travail et mes amis m'avaient surnommée "le glaçon", le choc a été brutal.

 

​Je me croyais vivante, chaleureuse, ouverte… mais ce regard extérieur a révélé une vérité que je ne voulais pas voir : j’étais gelée de l’intérieur. Mon corps et mon cœur s’étaient figés dans une armure invisible. Je ne savais plus ressentir, aimer, faire confiance.

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Je me suis retrouvée dans un pays étranger, sans ami vraiment authentique ni rêve à poursuivre, et j'ai réalisé que ce surnom était le reflet de mon état : le traumatisme m'avait totalement insensibilisée, "gelée". 

Mon état était devenu chronique et totalement inconscient; j'étais incapable de me relier à moi-même, aux autres, de me sentir en sécurité, d'aimer, de rire et d'être légère...

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Ce constat a été un électrochoc. Et j'ai décidé d'agir...

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Je suis rentrée en France, et j’ai entamé une psychothérapie qui a duré plus de dix ans. J’ai brisé le silence. J’ai porté plainte. J’ai obtenu un non-lieu...

 

Un verdict qui aurait pu m’anéantir.

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Mais à cet instant, j’ai compris que personne d’autre que moi ne pouvait me reconnaître et m’offrir la justice dont j’avais besoin.

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J’ai alors fait le choix de créer ma propre paix, indépendamment des circonstances extérieures.

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Ce non-lieu a en réalité été un tournant majeur dans ma guérison : je me suis reconnue, moi-même, comme victime, et j'ai décidé de vivre au lieu de survivre. ​

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Mais après dix ans de thérapie, quelque chose résistait.

J’avais compris mon histoire, mais mon corps, lui, portait encore ses traces.

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J’ai alors exploré les thérapies holistiques, jusqu’au jour où la Vie m’a guidée vers une rencontre qui allait tout changer : les Danses de la Paix Universelle et le chemin du Soufisme Universel.

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J’ai dansé. J’ai pleuré sans savoir pourquoi pendant 6 mois. Et un jour, mon cœur s’est ouvert.

Ce n’était plus un travail intellectuel. C’était un lâcher-prise du corps, une libération par le mouvement, par la voix, par la prière incarnée.

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J’ai appris à laisser circuler la vie en moi, à ressentir la peine, l’abandon, la trahison, la colère… et à les laisser partir.​​

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  • d'esseulée et abandonnée, j'ai pris racine dans mon appartenance au cercle sacré de la Vie,

  • la colère m'a aidé à sentir mes limites et à affirmer mes Nons et mes Ouis, 

  • de victime survivante, j'ai vu et senti dans chaque cellule de mon Être les bénédictions reçues, toujours présentes, et j'ai commencé à vivre.

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Dieu a toujours été là, même quand je ne Le voyais pas.

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Dans les bus de mon adolescence, il y avait ces poignées suspendues au plafond. Un jour, quelques temps après mon initiation dans la voie soufie, j’ai ressenti quelque chose d’inexplicable : j’avais attrapé l’une d’elles, mais cette poignée, c’était Dieu. Et jamais Il ne me lâcherait.

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Petit à petit, j’ai senti la Présence. J’ai compris que je n’étais pas mon passé, ni mes blessures, ni mes pensées négatives.

 

Sur ce chemin de guérison, Jésus est venu à ma rencontre non pas comme une figure lointaine, mais comme un compagnon intime de l’âme.

Son enseignement en araméen m’a bouleversée. Les mots sacrés, les Béatitudes, le souffle d’Abwoon… Tout cela n’était pas une simple quête intellectuelle, mais une plongée dans mon être le plus profond. Jésus m’a appris à embrasser mes ombres au lieu de les fuir, à les laisser être fécondées par Sa lumière. Il m’a montré comment accueillir mes failles avec un amour radical, pour en faire un terreau de transformation.

 

Et puis, il y a eu Muhammad. L’homme du désert, le souffle de l'Un, la danse des 99 visages de l'Unité… À son contact, j’ai compris l’unité au-delà des contraires. Il m’a appris à voir Dieu partout : dans l’éclatante lumière comme dans l’obscurité la plus dense. À m’effacer pour laisser la Vie couler librement à travers moi, à abandonner l’illusion de contrôle pour me fondre dans le courant du divin.

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Le Féminin m'a aussi, plus subtilement, accompagné sur mon chemin de guérison. ELLE, la Grande Déesse, la grande Matrice, s'entend dans ce prénom, Asherah, qui m'a été donné par ma Maître Soufie. Et Elle continue son chemin souterrain, puissant et délicat en moi, au travers des prophétesses et des grandes mystiques comme Marie, Marie-Madeleine, Khadija, Fatima ou d'autres encore... 

 

J’ai cheminé avec elles, avec eux;  avec leurs voix, leurs héritages vivants, avec cette Présence qui m’invitait sans cesse à m’ouvrir. Peu à peu, j’ai commencé à percevoir autre chose en moi : un apaisement, une confiance nouvelle, une légèreté que je ne pensais plus possible. J’ai appris à me regarder sans jugement, à entendre les multiples voix en moi sans me laisser dominer par elles.

 

Et c’est ainsi qu’un jour, sans que je ne m’en rende compte, la lourdeur a cédé. Le jeu, la joie, le mouvement ont repris leur place. J’ai retrouvé mon corps, mes émotions, ma pleine présence au monde. J’ai compris que je n’avais jamais été seule.

 

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Jésus, Muhammad, le Féminin,  les paroles vibrantes d’Abwoon, les noms divins murmurés comme une caresse… Tout cela a tissé ma renaissance. Non comme un dogme, mais comme une vérité vivante, pulsante, inscrite dans chaque battement de mon cœur.

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Je guide les femmes qui, comme moi, ont connu des épreuves marquantes :

 

  • Des violences physiques ou sexuelles, qui ont laissé une coupure profonde avec leur corps.

  • Une enfance dans un cadre familial dysfonctionnel, marqué par le rejet ou la violence.

  • Des relations toxiques qui ont érodé leur estime d’elles-mêmes.

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Elles portent encore la honte, la culpabilité, l’auto-dépréciation, la méfiance, la peur de l’autre. Elles aspirent à retrouver la confiance, l’amour et la foi – en elles, en la Vie, en quelque chose de plus grand.

 

Je leur offre un espace sacré, relié à une foi inclusive et universelle, où elles peuvent :

 

  • Libérer leur corps de la mémoire des traumatismes.

  • Rétablir le lien entre leur cœur, leur corps et leur esprit.

  • Revenir à la joie et à la légèreté d’être.

  • Marcher vers leur souveraineté spirituelle, libre de toute injonction.

 

J’ai traversé ces ombres et je les ai rendu fertiles. Je sais que l’on peut y faire fleurir un jardin merveilleux.
Et je sais que, même dans l’obscurité la plus profonde, la Vie nous tend toujours la main.

 

 

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D’un corps figé à un cœur vivant

De la parole à l’incarnation : la guérison par le corps et l’âme

Mon chemin avec Dieu : une reliance inébranlable

Aujourd’hui, j’accompagne les femmes vers leur renaissance

2025. Asherah D Boyer

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